Le dossier de ce premier numéro porte sur les ÉCOLOGIES DÉVIANTES pour défendre une écologie réellement inclusive, à l’image d’une Terre foisonnante et multiple.
Pourquoi déviantes ? Car en marge d’une écologie mainstream, trop complaisante à l’égard du capitalisme qui lave toujours plus blanc, plus vert ou plus rose.
Le monde animal comme le monde végétal nous aident à penser au-delà des catégorisations assignées, quelles qu'elles soient. Dès lors, nous pouvons remettre en question nos constructions culturelles autour de ce qui est considéré comme « naturel » et de ce qui ne le serait pas.